DIMANCHE 17 NOVEMBRE. Mc 13, 24-32
Marc 13,24-32.
Le chapitre 13, commence par une phrase prononcée par un disciple et qui s'extasie devant la beauté tu temple de Jérusalem, et Jésus, casse complétement sa joie. On va retrouver un discours assez proche de ce qu'on trouve dans Daniel, mais ici, on est quand même dans du dramatique, et un vécu à venir qui est loin d'être glorieux. Être disciple, être témoin sera difficile, mais il y a l'annonce de l'Esprit Saint qui sera donné. On a aussi les faux messies.
24 En ces jours-là, après une pareille détresse, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ;
25 les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées.
26 Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance et avec gloire.
27 Il enverra les anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde, depuis l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel.
28 Laissez-vous instruire par la comparaison du figuier : dès que ses branches deviennent tendres et que sortent les feuilles, vous savez que l’été est proche.
29 De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le Fils de l’homme est proche, à votre porte.
30 Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas avant que tout cela n’arrive.
31 Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas.
32 Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père.
Nouïs.
. Pour chaque fidèle, c’est aujourd’hui que le Christ vient, c’est aujourd’hui que les idoles s’effondrent, c’est aujourd’hui qu’il juge le monde, c’est aujourd’hui qu’il rassemble ses élus.
Après le temps de l’effondrement, vient le temps de la renaissance. Dans la Bible, il n’y a pas d’épreuve qui ne soit suivie d’un recommencement.
Le Christ vient
On verra le fils de l’homme venir. Le Nouveau Testament ne dit jamais que le Christ revient, mais qu’il vient. Dire que le Christ vient, c’est dire qu’il échappe à nos saisies, qu’il est au-delà de ce qu’on peut en dire.
Chaque fois que je suis menacé par le découragement dans ma foi, je peux me dire que le Christ vient dans mon histoire pour tout renouveler.
L’obscurcissement du soleil et de la lune, ainsi que la chute des étoiles. Ils évoquent la fin du monde, mais on peut aussi les entendre dans un sens symbolique. Nous pouvons interpréter ce verset autrement en nous souvenant que le soleil, la lune et les étoiles sont dans le Premier Testament des idoles devant lesquelles on s’incline. L’obscurcissement du soleil et la chute des étoiles signifient alors la fin de l’idolâtrie. Selon cette hypothèse, la venue du Christ n’évoque pas la fin du monde, mais l’émergence d’un nouveau monde, sans idoles.
Nous pouvons passer en revue les idoles de notre temps : L’argent, le divertissement, la télévision, la politique, le sport … La venue du Fils de l’homme nous libère de ces idoles.
Jésus ne parle pas du cadre de notre histoire, mais de notre vie de foi : Toutes les générations doivent considérer qu’elles ne passeront pas avant la venue du Christ. Cette venue est comme aiguillon qui nous appelle à ne pas nous assoupir dans notre vie spirituelle et toujours remettre de la foi dans nos choix.
LUNDI 18 NOVEMBRE. Luc 18,35-43.
35 Alors que Jésus approchait de Jéricho, un aveugle mendiait, assis au bord de la route.
36 Entendant la foule passer devant lui, il s’informa de ce qu’il y avait.
37 On lui apprit que c’était Jésus le Nazaréen qui passait.
Un homme qui est aveugle, qui mendie et qui entend. Chez lui, l'audition est tellement importante. Il demande et on lui répond. Peut-être qu'il vaudrait mieux pour lui, ne pas être assis au bord de la route et se faire piétiner. Donc changer d'endroit. On n'entend que le bruit des pas.
38 Il s’écria : « Jésus, fils de David, prends pitié de moi ! »
39 Ceux qui marchaient en tête le rabrouaient pour le faire taire. Mais lui criait de plus belle : « Fils de David, prends pitié de moi ! »
Et dans le brouhaha des pas, un cri, un cri puissant, un cri qui implore, un cri qui reconnait en Jésus le Messie (enfin ça je n'en suis pas si sûre). Maintenant, pourquoi le faire taire? Pourquoi n'aurait-il pas le droit de crier? Après tout, un mendiant ça crie parfois pour attirer l'attention. Il sait ce qu'il doit faire pour être entendu. Et entendu, il l'est, il n'obéit pas, il crie. Et ça c'est beau. Rester dans son désir, même si les autres veulent vous bâillonner.
40 Jésus s’arrêta et il ordonna qu’on le lui amène. Quand il se fut approché, Jésus lui demanda :
41 « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » Il répondit : « Seigneur, que je retrouve la vue. » 42Et Jésus lui dit : « Retrouve la vue ! Ta foi t’a sauvé. »
Jésus maître. Il a entendu, il s'arrêt et il ordonne. Il ordonne qu'on le lui amène et il ordonne à la cécité de cesser. Mals la finale: ta foi t'a sauvée est un peu difficile. Ta foi en moi t'a sauvé de quoi? C'est parce que tu as foi en moi que je peux te rendre la vue? Si tu n'avais pas cette foi, tu ne serais pas guéri? C'est important ce rôle de la foi dans la guérison, mais portant, il y a des guérisons gratuites, la femme courbée, l'homme à la main atrophiée; le fils de la veuve, alors il y a aussi la dimension de la compassion (que je préfère à la miséricorde), il y a cet amour débordant qui désire le bon et qui l'accomplit.
43 À l’instant même, il retrouva la vue, et il suivait Jésus en rendant gloire à Dieu. Et tout le peuple, voyant cela, adressa une louange à Dieu.
La finale, évoque la guérison des dix lépreux. Le samaritain revient sur ses pas en rendant gloire à Dieu puis il se prosterne devant Jésus. Là, il y a l'homme qui devient disciple, et qui est comme un moteur, pour la foule qui voulait l'empêcher de parler, et c'est comme les prémices de ce qui se passera à Jérusalem.
MARDI 19 NOVEMBRE. Lc 19, 1-10
Le programme de Jésus, venir chercher et sauver ce qui était perdu. Ce qui peut renvoyer à la brebis perdue, au fils prodigue. Et on a ce regard qui n'est pas un regard aveugle, ce regard qui va autour de lui, en bas, en haut, sur les côtés et l'oreille qui a entendu le cri du malheureux qui crie.
1 En ce temps-là, entré dans la ville de Jéricho, Jésus la traversait.
2 Or, il y avait un homme du nom de Zachée ; il était le chef des collecteurs d’impôts, et c’était quelqu’un de riche.
3 Il cherchait à voir qui était Jésus, mais il ne le pouvait pas à cause de la foule, car il était de petite taille.
4 Il courut donc en avant et grimpa sur un sycomore pour voir Jésus qui allait passer par là.
La détermination de Zachée est très importante. Peut-être qu'il ne veut pas être vu, mais il veut voir et lui, le notable parce que malgré tout c'en est un, il grimpe comme un gamin dans un sycomore. Il est bien caché, mais Jésus a aussi des yeux. Zachée voulait voir, mais ne pas être vu, Jésus lui regarde, cherche et trouve et parle. Car là, il y a de la parole.
5 Arrivé à cet endroit, Jésus leva les yeux et lui dit : « Zachée, descends vite : aujourd’hui il faut que j’aille demeurer dans ta maison. »
Et c'est une demande. Et il y a comme une urgence, qui peut se comprendre par rapport au timing de la montée à Jérusalem. Mais l'important et c'est cela qui est dit à cet homme méprisé, c'est: c'est chez toi et pas chez un autre, que je veux aller et demeurer. Je retiens l'urgence et il faut.
6 Vite, il descendit et reçut Jésus avec joie.
7 Voyant cela, tous récriminaient : « Il est allé loger chez un homme qui est un pécheur. »
D'un côté on a un homme heureux, et de l'autre on a des gens qui râlent, qui jugent.
8 Zachée, debout, s’adressa au Seigneur : « Voici, Seigneur : je fais don aux pauvres de la moitié de mes biens, et si j’ai fait du tort à quelqu’un, je vais lui rendre quatre fois plus. »
Et si Zaché n'était pas conforme à l'image que l'on se fait d'un chef de publicain? S'il était autre? Et même s'il est conforme, là il se passe quelque chose, et il prend sur lui les torts faits par son équipe.
9 Alors Jésus dit à son sujet : « Aujourd’hui, le salut est arrivé pour cette maison, car lui aussi est un fils d’Abraham.
10 En effet, le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »
Que veut dire Jésus en insistant sur Fils d'Abraham? Le fait d'être à la solde des romains, ne lui enlève pas son identité, alors ne l'oubliez pas, ne jugez pas? Et peut-être quelque chose qui va ensuite plus loin, lui Jésus, ce n'est pas cette identité extérieure qu'il regarde, mais ce qui est dedans et c'est pour cela qu'il est là, et là, ça dépasse l'identité ethnique.
MERCREDI 20 NOVEMBRE. Lc 19, 11-28. Parabole des mines.
10 En effet, le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »
11 Comme on l’écoutait, Jésus ajouta une parabole : il était près de Jérusalem et ses auditeurs pensaient que le royaume de Dieu allait se manifester à l’instant même.
Il me semble qu'il faut faire un lien avec ce qui vient de se passer. Est-ce que la conversion de Zachée est comme un signe que le royaume va se manifester? Disons que le synchronicité m'interroge. Mais en même temps, Jéricho n'est quand même pas tout près de Jérusalem. Bizarre. Ou est ce que la comportement de Zaché est le signe que quelque chose se passe?
11En ce temps-là, comme on l’écoutait, Jésus ajouta une parabole : il était près de Jérusalem et ses auditeurs pensaient que le royaume de Dieu allait se manifester à l’instant même.
On peut aussi supposer que Jésus est sur la route, pas trop loin de Jérusalem, et qu'il enseigne. Et il y aurait comme une pause. Et là, peut-être que la proximité de Jérusalem y est pour quelque chose, mais Jésus, montre qu'on ne veut pas de lui, mais que somme toute, ce n'est pas grave parce qu'il arrivera à ses fins (mais c'est quand même bien différent), et il montre comment faire pour entrer dans le royaume.
1 2Voici donc ce qu’il dit : « Un homme de la noblesse partit dans un pays lointain pour se faire donner la royauté et revenir ensuite.
13 Il appela dix de ses serviteurs, et remit à chacun une somme de la valeur d’une mine ; puis il leur dit : “Pendant mon voyage, faites de bonnes affaires.”
On sait qu'il va revenir, et il y a un ordre: faites quelque chose avec ce sont vous disposez;
14 Mais ses concitoyens le détestaient, et ils envoyèrent derrière lui une délégation chargée de dire : “Nous ne voulons pas que cet homme règne sur nous.”
15 Quand il fut de retour après avoir reçu la royauté, il fit convoquer les serviteurs auxquels il avait remis l’argent, afin de savoir ce que leurs affaires avaient rapporté.
On apprend là, que la royauté est donnée, et du coup, on peut penser qu'il s'agit, comme chez Matthieu d'une parabole qui parle de la fin des temps. La royauté est donnée, il a donc tout pouvoir et il demande des comptes.
16 Le premier se présenta et dit : “Seigneur, la somme que tu m’avais remise a été multipliée par dix.”
17 Le roi lui déclara : “Très bien, bon serviteur ! Puisque tu as été fidèle en si peu de chose, reçois l’autoritésur dix villes.”
18 Le second vint dire : “La somme que tu m’avais remise, Seigneur, a été multipliée par cinq.” 19À celui-là encore, le roi dit : “Toi, de même, sois à la tête de cinq villes.”
20 Le dernier vint dire : “Seigneur, voici la somme que tu m’avais remise ; je l’ai gardée enveloppée dans un linge.
21 En effet, j’avais peur de toi, car tu es un homme exigeant, tu retires ce que tu n’as pas mis en dépôt, tu moissonnes ce que tu n’as pas semé.”
Très semblable à Mt. Image d'un homme absolument injuste, qui prend tout, qui vide tout . Il met l'autre sur la paille, si je puis dire. Il va jusqu'à voler son bien.
22 Le roi lui déclara : “Je vais te juger sur tes paroles, serviteur mauvais : tu savais que je suis un homme exigeant, que je retire ce que je n’ai pas mis en dépôt, que je moissonne ce que je n’ai pas semé ;
23 alors pourquoi n’as-tu pas mis mon argent à la banque ? À mon arrivée, je l’aurais repris avec les intérêts.”
24 Et le roi dit à ceux qui étaient là : “Retirez-lui cette somme et donnez-la à celui qui a dix fois plus.”
25 On lui dit : “Seigneur, il a dix fois plus !
Dans la mesure où l'homme lui a rendu son argent (enveloppé dans un linge), le lui enlever n'a aucun sens. Par contre le donner à celui qui sait comment faire fructifier, c'est aussi une récompense, une valorisation.
26 – Je vous le déclare : on donnera à celui qui a ; mais celui qui n’a rien se verra enlever même ce qu’il a.
27 Quant à mes ennemis, ceux qui n’ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici et égorgez-les devant moi.” »
28 Après avoir ainsi parlé, Jésus partit en avant pour monter à Jérusalem.
J'imagine que ça a dû jeter un froid cette parabole.
JEUDI 21 NOVEMBRE. Lc 19, 41-44
Si on suit le récit de Luc, Jésus est parti de Bethphagé et il arrive vers Jérusalem normalement Mont de Oliviers. Et j'aime ces versets où Jésus parle comme un prophète, où il est comme pris par la présence du Père qui le fait parler, qui le fait pleurer et qui parle en Lui. Et il y a toujours cette cecité. Mais si on lit, est ce que cela veut dire que si Jésus n'avait pas été rejeté, mis en croix, est ce que Jérusalem n'aurait pas été détruite? C'est compliqué, parce que quelque part, c'est bien cet endurcissement (du moins d'une partie ) qui a permis aussi le salut de tous.
41 En ce temps-là, lorsque Jésus fut près de Jérusalem, voyant la ville, il pleura sur elle, en disant :
42 « Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix ! Mais maintenant cela est resté caché à tes yeux.
Si tu avais reconnu en ce jour celui qui donne la paix.. Plainte de Jésus. Et le c'est trop tard. Tu pouvais ouvrir les yeux et tu ne l'as pas fait.
43 Oui, viendront pour toi des jours où tes ennemis construiront des ouvrages de siège contre toi, t’encercleront et te presseront de tous côtés ;
44 ils t’anéantiront, toi et tes enfants qui sont chez toi, et ils ne laisseront pas chez toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. »
Cela m'évoque une prière de Daniel tout cela est arrivé parce que nous et nos pères, nous sommes détournés de toi.
VENDREDI 22 NOVEMBRE. Lc 45-58
45 En ce temps-là, entré dans le Temple, Jésus se mit à en expulser les vendeurs. Il leur déclarait:
46« Il est écrit : ‘Ma maison sera une maison de prière’. Or vous, vous en avez fait une caverne de bandits. »
Jésus est donc arrivé au temple. Et là, ce qu'il voit le met en colère. C'est beaucoup moins descriptif que chez Matthieu, qui différencie les différents étals. On a juste la référence à Jérémie.
47 Et il était chaque jour dans le Temple pour enseigner. Les grands prêtres et les scribes, ainsi que les notables, cherchaient à le faire mourir,
48 mais ils ne trouvaient pas ce qu’ils pourraient faire ; en effet, le peuple tout entier, suspendu à ses lèvres, l’écoutait.
Veulent-ils le faire mourir, parce qu'il enseigne, et que son enseignement plait au peuple, qui voit en lui quelqu'un qui sait leur parler, qui sait se faire comprendre, se faire entendre, donc une jalousie, ou parce que l'acte d'expulser (peut-être plus fort que chasser), mais qui là, me fait penser à une expulsion de démons, comme si le premier geste que fait Jésus est un geste de purification, (à Capharnaüm, c'est bien comme cela qu'il avait aussi commencé),
Si je finis ma phrase, c'est qu'ils peuvent être furieux du geste de Jésus.
SAMEDI 23 NOVEMBRE. Luc 20, 27-40
27 En ce temps-là, quelques sadducéens – ceux qui soutiennent qu’il n’y a pas de résurrection – s’approchèrent de Jésus
28 et l’interrogèrent : « Maître, Moïse nous a prescrit : ‘Si un homme a un frère qui meurt en laissant une épouse mais pas d’enfant, il doit épouser la veuve pour susciter une descendance à son frère.’
29 Or, il y avait sept frères : le premier se maria et mourut sans enfant ;
30 de même le deuxième,
31 puis le troisième, épousèrent la veuve, et ainsi tous les sept : ils moururent sans laisser d’enfants.
32 Finalement la femme mourut aussi.
Ce qui est sidérant, mais vive les histoires, c'est que la femme n'ait pas été répudiée. La loi du lévirat oui, mais quand même. Un peu fou ces sadducéens.
33 Eh bien, à la résurrection, cette femme-là, duquel d’entre eux sera-t-elle l’épouse, puisque les sept l’ont eue pour épouse ? »
34 Jésus leur répondit : « Les enfants de ce monde prennent femme et mari.
35 Mais ceux qui ont été jugés dignes d’avoir part au monde à venir et à la résurrection d’entre les morts ne prennent ni femme ni mari,
36 car ils ne peuvent plus mourir : ils sont semblables aux anges, ils sont enfants de Dieu et enfants de la résurrections.
Distinction entre ce qui se passe sur la terre et ce qui se passera dans l'au-delà où la question de la descendance ne se posera plus, puisque de mort il n'y aura plus. Et Jésus affirme comme les pharisiens qu'il y a une vie après la mort, une autre vie. Sauf que tel qu'il le dit, il y a ceux qui en sont jugés digne et les autres.
37 Que les morts ressuscitent, Moïse lui-même le fait comprendre dans le récit du buisson ardent, quand il appelle le Seigneur ‘le Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob.’
38 Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Tous, en effet, vivent pour lui. »
Manifestement en citant le pentateuque, Jésus essaye de leur montrer qu'ils n'ont rien compris et qu'ils déforment ce qui est écrit.
39 Alors certains scribes prirent la parole pour dire : « Maître, tu as bien parlé. »
40 Et ils n’osaient plus l’interroger sur quoi que ce soit.
Fin du questionnement insidieux.