DIMANCHE 1° JANVIER. Lc 2, 16-21
16 En ce temps-là, les bergers se hâtèrent d’aller à Bethléem, et ils découvrirent Marie et Joseph, avec le nouveau-né couché dans la mangeoire.
Ils ont été enveloppés de la lumière autre, ils ont entendu un chant nouveau, eux qui jouent peut-être de la flute, et on leur a parlé de ce signe; l'enfant nouveau-né, couché dans une mangeoire (pour ne pas être écrasé par les pattes des bêtes qui sont là, ce qui veut dire aussi qu'il n'a pas de berceau et qu'il est dans la réserve à foin. Et ils se hâtent, comme Marie s'était hâtée, pour voir elle aussi son signe, à savoir cette grossesse impossible.
17 Après avoir vu, ils racontèrent ce qui leur avait été annoncé au sujet de cet enfant.
18 Et tous ceux qui entendirent s’étonnaient de ce que leur racontaient les bergers.
Ils voient et ils croient. Et eux les bergers sont les premiers témoins, comme Marie Madeleine sera elle aussi la première envoyée. Et donc si ce sont des bergers, c'est important pour Dieu, son fils sera le berger et ce sont des bergers, des gens peu crédibles, comme plus tard ce sera une femme, qui parlent. Et il y a le même étonnement des autres, comme se sera le cas, plus tard au Temple de Jérusalem, où tout le monde s'extasie, est dans l'étonnement devant ce jeune garçon, débarqué d'un trou plus ou moins perdu de Galilée.
19 Marie, cependant, retenait tous ces événements et les méditait dans son cœur.
Et là, la centration sur Marie, qui retient tout cela, mais qui en fait quelque chose en les méditant. Et c'est cela l'important.
20 Les bergers repartirent ; ils glorifiaient et louaient Dieu pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, selon ce qui leur avait été annoncé.
Là pour moi, c'est une phrase de résurrection. Là la louange qui monte c'est pour ce qui vient de se passer; Eux les petits, les mal-vus ont été choisis pour partager au monde l'ouverture du ciel, et la naissance de cet enfant. Les cieux se sont ouverts.
21 Quand fut arrivé le huitième jour, celui de la circoncision, l’enfant reçut le nom de Jésus, le nom que l’ange lui avait donné avant sa conception.
Ouf, on revient quand même à cette fête du 1° janvier, la circoncision.
Pour moi, essayer de faire mémoire de ce que je vois et entends, de ce que je reçois et de le méditer pour en faire autre chose, pour que l'ES donne du sens.
LUNDI 2 JANVIER. Jn 1, 19-28.
19 Voici le témoignage de Jean, quand les Juifs lui envoyèrent de Jérusalem des prêtres et des lévites pour lui demander : « Qui es-tu ? »
20 Il ne refusa pas de répondre, il déclara ouvertement : « Je ne suis pas le Christ. »
21 Ils lui demandèrent : « Alors qu’en est-il ? Es-tu le prophète Élie ? » Il répondit : « Je ne le suis pas. –
Es-tu le Prophète annoncé ? » Il répondit : « Non. »
22 Alors ils lui dirent : « Qui es-tu ? Il faut que nous donnions une réponse à ceux qui nous ont envoyés. Que dis-tu sur toi-même ? »
23Il répondit : « Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Redressez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Isaïe. »
Là, on apprend ce que Jean n'est pas, et ce qu'il du moins la manière dont lui perçoit sa mission. Il est bien un prophète. Mais il est une voix, alors que Jésus sera, est la Parole. Mais il y a un beau texte de St Augustin qui parle de la voix et de la parole. Et l'autre question serait, de quel désert s'agit-il? Parce que pour nous le désert est un lieu sans personnes, donc à quoi bon crier. Or Jean crie bien, dans un lieu peut-être sans habitation, mais du monde l'entend et vient à lui. Et s'il est question de baptême, c'est qu'il y a de l'eau.
24 Or, ils avaient été envoyés de la part des pharisiens.
25 Ils lui posèrent encore cette question : « Pourquoi donc baptises-tu, si tu n’es ni le Christ, ni Élie, ni le Prophète ? »
26 Jean leur répondit : « Moi, je baptise dans l’eau. Mais au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas ;
27 c’est lui qui vient derrière moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de sa sandale. »
28 Cela s’est passé à Béthanie, de l’autre côté du Jourdain, à l’endroit où Jean baptisait.
Là, on a l'insistance des envoyés, ils doivent avoir une réponse sur cet homme qui déplace les foules, mais peut-être pas les pharisiens de Jérusalem. Alors une question pourquoi baptises-tu, de quel droit (sous-entendu, donnes nous un signe pour prouver que tu as le droit de faire ce que tu fais, que tu es un envoyé de Dieu). Et là une réponse pas simple. Mais qui pour celui qui écrit a du sens. Annonce de celui qui est, et qui va venir, et que vous ne connaissez pas (et que vous refuserez de reconnaître), celui qui vient ensuite (après), là on a une chronologie, puis une description: pas digne de délier la courroie de sa sandale, puis un lieu, situé près du jourdain, à Béthanie.
C'est un beau portrait qui est esquissé là et qui montre certainement d'admiration de l'écrivain sur cet homme qui lui a permis de rencontre Jésus et de partir à sa suite.
MARDI 3 JANVIER. Jn 1, 2
Est-ce que le "je ne le connaissais pas" signifie: certes je savais que jésus était mon cousin, mais pas qu'il était le Messie, parce que connaître dans cet évangile a un sens assez précis, mais cela parait un peu curieux quand même, qu'Elisabeth n'ait rien retransmis à son fils.
Maintenant quel est ce lendemain, qui va rythmer la fin de chapitre, qui remet dans le temps. Peut-être après le départ des envoyés. Et eux, n'ont pas l'annonce, comme si Jean se devait de protéger Jésus de ces envoyés-là.
29 (En ce temps-là), le lendemain, voyant Jésus venir vers lui, Jean le Baptiste déclara : « Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde ;
30 c’est de lui que j’ai dit : L’homme qui vient derrière moi est passé devant moi, car avant moi il était.
31 Et moi, je ne le connaissais pas ;
mais, si je suis venu baptiser dans l’eau, c’est pour qu’il soit manifesté à Israël. »
C'est quand même étonnant. C'est comme si Jésus était déjà venu recevoir le baptême, puis était reparti et qu'il revenait et que là Jean peut le proclamer comme celui qui est l'agneau de Dieu. Cela reprendrait la phrase précédente: verset 26, au milieu de vous, se tient quelqu'un que vous ne connaissez pas, c'est lui qui vient derrière moi (me remplacer).. Et Jean explique alors.
Il y a aussi autre chose, c'est comme si sa mission n'était pas tant de préparer le chemin, de préparer un peuple qui a décidé de changer de vie, qui se reconnait pécheur, mais qui a besoin d'autre chose que le rituel de l'eau et du bouc envoyé dans le désert, porteur des péchés du peuple pour en être délivré, mais de pouvoir témoigner que Celui-là est l'Envoyé, car avant que Jean ne soit, Lui il était (C'est ce que Jésus dira à propos d'Abraham).
32 Alors Jean rendit ce témoignage : « J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe et il demeura sur lui.
33 Et moi, je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau m’a dit : “Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer, celui-là baptise dans l’Esprit Saint.”
34 Moi, j’ai vu, et je rends témoignage : c’est lui le Fils de Dieu. »
Jean a vu et il a compris et cru que cet homme, qu'il connaissait peut-être dans le connaître, sans reconnaître qui il était, ce jour-là, ses yeux se sont ouverts et il a reconnu et il peut témoigner (Jésus se servira de cela quand il aura guéri le paralytique le jour du sabbat), est Le Fils de Dieu, donc que Dieu est son Père.
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Si je me résume, il y a eu le baptême de Jésus, qui s'est fait sans bruit, mais Jean a vu cet homme et il sait qui il est: le Fils de Dieu. Puis quand Jésus revient, (le jour même ou pas), il peut alors le désigner à ceux qui sont auprès de lui, ses disciples, comme celui sur lequel l'esprit de Dieu est descendu comme une colombe, et est demeuré. Celui qui est remplit d'Esprit Saint depuis toujours. Et l'affirmation c'est lui, le fils d Dieu, mais pas à la manière d David, il l'est depuis toujours et il peut appeler Dieu son Père et rapporter ce qu'il a vu et entendu.( tout ce qu'on pourra lire par la suite).
MERCREDI 4 JANVIER.P Jn 1,35-42. Début de la communauté. Appel André, un disciple pas nommé, et Pierre.
La phrase qui met en marche: "voici l'Agneau de Dieu." Qui résume tout ce qui a été dit avant par Jean sur Jésus, que ce soit aux envoyés (prêtres et lévites) que ce soit à ses disciples.
35 Le lendemain encore, (En ce temps-là), Jean le Baptiste se trouvait avec deux de ses disciples.
36 Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, il dit : « Voici l’Agneau de Dieu. »
37 Les deux disciples entendirent ce qu’il disait, et ils suivirent Jésus.
Peut-être que ce 'le lendemain encore' veut dire qu'on est dans la continuité du texte, que ce n'est pas une nouvelle journée. Dans un premier temps, Jean voit Jésus venir à lui, et il parle de lui a ses disciples, en disant que cet homme-là, c'est lui l'envoyé, celui qui est rempli d'Esprit Saint, le Fils de Dieu. Et Jésus entend cela, il reste là et il attend. Et la phrase de Jean, permet pour moi la séparation, comme une mère qui donne à ses enfants un signal pour qu'ils comprennent qu'ils sont capables de marcher. Et la phrase de Jean les met en marche. Je pense toujours à ce que l'on dit de ce geste des mamans, de donner une toute petite tape sur les fesses de leur bébé, qui est capable de marcher mais qui ne se lance pas encore, et qui leur permet de partir, de marcher, d'explorer.
38 Se retournant, Jésus vit qu’ils le suivaient, et leur dit : « Que cherchez-vous ? »
Ils lui répondirent : « Rabbi – ce qui veut dire : Maître –, où demeures-tu ? »
39 Il leur dit : « Venez, et vous verrez. » Ils allèrent donc, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. C’était vers la dixième heure (environ quatre heures de l’après-midi).
Toute la question autour du verbe demeurer. Il y a le demeurer en Dieu, mais peut-être aussi un lieu choisi par Jésus pour que ceux qui viendront à lui, se sentent bien, se sentent choisis, se sentent aimés. Importance certainement de cette dixième heure. Un jour il y aura une neuvième heure.
40 André, le frère de Simon-Pierre, était l’un des deux disciples qui avaient entendu la parole de Jean et qui avaient suivi Jésus.
41 Il trouve d’abord Simon, son propre frère, et lui dit : « Nous avons trouvé le Messie » – ce qui veut dire : Christ.
42 André amena son frère à Jésus. Jésus posa son regard sur lui et dit : « Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras Kèphas » – ce qui veut dire : Pierre.
Et c'est la boule de neige qui commence: André appelle Simon, en quelque sorte il l'engendre et Jésus le reçoit et lui donne un nom.
JEUDI 5 JANVIER. Jn 1, 43-51. La boule de neige continue. Appel de Philippe et de Nathanaël.
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43Le lendemain (En ce temps-là), Jésus décida de partir pour la Galilée. Il trouve Philippe, et lui dit : « Suis-moi. »
44Philippe était de Bethsaïde, le village d’André et de Pierre.
Au moins avec Philippe, ça ne pose aucun problème.Mais il y a le verbe "trouver", ce qui évoque une recherche. Peut-être a-t-il demandé à André qui pourrait avoir envie de le suivre. Et ça fonctionne. Il est appelé, et il répond immédiatement, contrairement à Nathanaêl qui va se faire un peu tirer l'oreille. Là c'est un appel direct= Jésus/Philippe. Et c'est là qu'on apprend que les quatre premiers: André, Pierre, Philippe et Nathanaël sont des galiléens, de Bethsaïde. Est cela qui pousse Jésus à quitter la Judée?
45 Philippe trouve Nathanaël et lui dit : « Celui dont il est écrit dans la loi de Moïse et chez les Prophètes, nous l’avons trouvé : c’est Jésus fils de Joseph, de Nazareth. »
46 Nathanaël répliqua : « De Nazareth peut-il sortir quelque chose de bon ? » Philippe répond : « Viens, et vois. »
La répartie de Nathanaël on l'entendra encore dans cet évangile. Ce n'est pas une ville nommée, c'est une petite ville de Galilée, proche d'une ville grecque (donc idolâtre), donc pas une bonne ville, pas la bonne origine. Et Nathanaël pense que son ami dit n'importe quoi.Mais curieusement Philippe utilise la même phrase que Jésus: venez et vous verrez…. Viens et vois. (fais toi ton opinion par toi-même).
47 Lorsque Jésus voit Nathanaël venir à lui, il déclare à son sujet : « Voici vraiment un Israélite : il n’y a pas de ruse en lui. »
A qui Jésus dit-il cela? Aux trois autres? Mais manifestement Nathanaël ne le prend pas très très bien. Mais c'est un peu aussi, tu me prends pour un péquenot, et tu le montres. Tu es franc et je pense que c'est ça ce que j'aime en toi.
48 Nathanaël lui demande : « D’où me connais-tu ? »
Le verbe connaitre. Peut-être que Jésus dévoila là une des caractériques de cet homme, ce qu'on lui reproche parfois et il ne le prend pas très bien. Tu es qui toi, pour oser me dire ça?
Jésus lui répond : « Avant que Philippe t’appelle, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu. »
49 Nathanaël lui dit : « Rabbi, c’est toi le Fils de Dieu ! C’est toi le roi d’Israël ! »
Et là il se passe quelque chose. Oui je te connais, je te connais bien, (voir le psaume 139), et je peux même où tu étais avant que Philippe ne t'appelle. Et ça, ça résonne et ça, c'est la parole qui lui ouvre les yeux et le cœur.
50 Jésus reprend : « Je te dis que je t’ai vu sous le figuier, et c’est pour cela que tu crois ! Tu verras des choses plus grandes encore. »
51 Et il ajoute : « Amen, amen, je vous le dis : vous verrez le ciel ouvert, et les anges de Dieu monter et descendre au-dessus du Fils de l’homme. »
Il ne t'en faut pas beaucoup pour croire, tu n'es pas comme les autres, les pharisiens qui refuseront de croire. Mais crois-moi, toi, tu verras bien plus fort que ça. Tu verras (comme les anges de Bethléem), les cieux ouverts et la divinité du Fils de l'homme.
VENDREDI 6 JANVIER. Lc 3, 23-37 Généalogie de Jésus. En fait deux textes possibles.
23Quand il commença, Jésus avait environ trente ans ; il était, à ce que l’on pensait, fils de Joseph, fils d’Éli,
24 fils de Matthate, fils de Lévi, fils de Melki, fils de Jannaï, fils de Joseph,
25 fils de Mattathias, fils d’Amos, fils de Nahoum, fils de Hesli, fils de Naggaï,
26 fils de Maath, fils de Mattathias, fils de Séméine, fils de Josek, fils de Joda,
27 fils de Joanane, fils de Résa, fils de Zorobabel, fils de Salathiel, fils de Néri,
28 fils de Melki, fils d’Addi, fils de Kosam, fils d’Elmadam, fils d’Er,
29 fils de Jésus, fils d’Éliézer, fils de Jorim, fils de Matthate, fils de Lévi,
30 fils de Syméon, fils de Juda, fils de Joseph, fils de Jonam, fils d’Éliakim,
31 fils de Méléa, fils de Menna, fils de Mattatha, fils de Natham, fils de David,
32 fils de Jessé, fils de Jobed, fils de Booz, fils de Sala, fils de Naassone,
33 fils d’Aminadab, fils d’Admine, fils d’Arni, fils d’Esrom, fils de Pharès, fils de Juda,
34 fils de Jacob, fils d’Isaac, fils d’Abraham, fils de Thara, fils de Nakor,
35 fils de Sérouk, fils de Ragaou, fils de Phalek, fils d’Éber, fils de Sala,
36 fils de Kaïnam, fils d’Arphaxad, fils de Sem, fils de Noé, fils de Lamek,
37 fils de Mathusalem, fils de Hénok, fils de Jareth, fils de Maléléel, fils de Kaïnam,
38 fils d’Énos, fils de Seth, fils d’Adam, fils de Dieu.
Luc 3 | Mt 1 |
; il était, à ce que l’on pensait, fils de Joseph, fils d’Éli, 24 fils de Matthate, fils de Lévi, fils de Melki, fils de Jannaï, fils de Joseph, 25 fils de Mattathias, fils d’Amos, fils de Nahoum, fils de Hesli, fils de Naggaï, 26 fils de Maath, fils de Mattathias, fils de Séméine, fils de Josek, fils de Joda, 27 fils de Joanane, fils de Résa, fils de Zorobabel, fils de Salathiel, fils de Néri | 3 Zorobabel engendra Abioud, Abioud engendra Éliakim, Éliakim engendra Azor, 14 Azor engendra Sadok, Sadok engendra Akim, Akim engendra Élioud, 15 Élioud engendra Éléazar, Éléazar engendra Mattane, Mattane engendra Jacob, 16 Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle fut engendré Jésus, que l’on appelle Christ.
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28 fils de Melki, fils d’Addi, fils de Kosam, fils d’Elmadam, fils d’Er, 29 fils de Jésus, fils d’Éliézer, fils de Jorim, fils de Matthate, fils de Lévi, 30 fils de Syméon, fils de Juda, fils de Joseph, fils de Jonam, fils d’Éliakim, 31 fils de Méléa, fils de Menna, fils de Mattatha, fils de Natham, fils de David | 07 Salomon engendra Roboam, Roboam engendra Abia, Abia engendra Asa, 08 Asa engendra Josaphat, Josaphat engendra Joram, Joram engendra Ozias, 09 Ozias engendra Joatham, Joatham engendra Acaz, Acaz engendra Ézékias, 10 Ézékias engendra Manassé, Manassé engendra Amone, Amone engendra Josias, 11 Josias engendra Jékonias et ses frères à l’époque de l’exil à Babylone. 12 Après l’exil à Babylone, Jékonias engendra Salathiel, Salathiel engendra Zorobabel,
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32 fils de Jessé, fils de Jobed, fils de Booz, fils de Sala, fils de Naassone, 33 fils d’Aminadab, fils d’Admine, fils d’Arni, fils d’Esrom, fils de Pharès, fils de Juda, 34 fils de Jacob, fils d’Isaac,
fils d’Abraham, fils de Thara, fils de Nakor, 35 fils de Sérouk, fils de Ragaou, fils de Phalek, fils d’Éber, fils de Sala, 36 fils de Kaïnam, fils d’Arphaxad, fils de Sem, fils de Noé, fils de Lamek, 37 fils de Mathusalem, fils de Hénok, fils de Jareth, fils de Maléléel, fils de Kaïnam, 38 fils d’Énos, fils de Seth, fils d’Adam, fils de Dieu.
| 02 Abraham engendra Isaac, Isaac engendra Jacob, Jacob engendra Juda et ses frères, 03 Juda, de son union avec Thamar, engendra Pharès et Zara, Pharès engendra Esrom, Esrom engendra Aram, 04 Aram engendra Aminadab, Aminadab engendra Naassone, Naassone engendra Salmone, 05 Salmone, de son union avec Rahab, engendra Booz, Booz, de son union avec Ruth, engendra Jobed, Jobed engendra Jessé, 06 Jessé engendra le roi David. David, de son union avec la femme d’Ourias, engendra Salomon,
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VENDREDI 6 JANVIER M 1,7-11
06 Jean était vêtu de poil de chameau, avec une ceinture de cuir autour des reins ; il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.
07 Il proclamait : « Voici venir derrière moi celui qui est plus fort que moi ; je ne suis pas digne de m’abaisser pour défaire la courroie de ses sandales.
08 Moi, je vous ai baptisés avec de l’eau ; lui vous baptisera dans l’Esprit Saint. »
On a là une annonce prophétique de Jean, qui annonce Jésus et juste avant (verset pas lu) , on a une description de Jean (Elie) et de son humilité. Il sait qu'il n'est pas digne de s'abaisser pour délier. En fait c'est très curieux comme phrase. A voir ailleurs?
09 En ces jours-là, Jésus vint de Nazareth, ville de Galilée, et il fut baptisé par Jean dans le Jourdain.
Et voilà Jésus qui entre en scène, mais discrètement, car là, c'est Jésus seul qui voit et qui entend.
10 Et aussitôt, en remontant de l’eau, il vit les cieux se déchirer et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe.
Ah si les cieux se déchiraient… Et là ils se sont déchirés et il y a la colombe, figure de l'Esprit. La colombe de Noé, la colombe du rachat du fils premier-né.
11 Il y eut une voix venant des cieux : « Tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie. »
Cette voix par qui est-elle entendue? En tous les cas, elle s'adresse à Jésus et il a nommé le Fils bien-aimé, en qui Dieu trouve sa joie. Et cette phrase pour moi, chante un peu comme celle du cantique des cantiques; Tu es celui que j'aime, tu es celui qui m'aime et cela fait naître en moi, une joie intime, une joie immense que personne ne peut évaluer que personne ne peut quantifier, et ce regard: je te vois et je suis dans la joie, car tu es celui qui accomplit ce que je désire, et cela fait aussi ta joie.
SAMEDI 7 JANVIER. Jn 2, 1-11
https://giboulee.blogspot.com/2022/01/noces-de-cana.html
Curieux commentaire du frère Daniel/ il qualifie la relation de Jésus et de sa mère comme pas trop normale, notion de pas claire (mais je ne retrouve plus le mot employé), peut-être confuse. Puis il dit que dans l'évangile de Jean, il y a un second degré, parole et signe. Bon et alors… On peut se demander pour qui est le signe ce jour-là, car les invités n'en n'ont que faire, ils sont à la fête, et ils ont ce qu'ils veulent. Les disciples certainement et Marie aussi. Et elle est là au début, comme elle sera là, à la fin. C'est peut-être cela l'important.
C'est signe aussi pour les serviteurs. Mais que comprennent-ils? Ont-ils envie de comprendre? Moïse a changé l'eau en sang dans le passé. Nouveau Moïse?
La réflexion de l'intendant. J'ai envie de penser; tous ceux qui ont été envoyés avant Jésus étaient certes du bon vin, mais il semble que des prophètes il n'y en ait pas eu, (sauf jean). Et le discours de Jean est un peu abrupte; du moins dans les synoptiques. Alors et si Jésus était non pas le vin nouveau,( parce que le vin nouveau, il faut s'y faire), mais lee meilleur cru que Dieu ait jamais donné à Israël et que ce cru, il est pour nous aujourd'hui.
1 En ce temps-là, il y eut un mariage à Cana de Galilée. La mère de Jésus était là.
2 Jésus aussi avait été invité au mariage avec ses disciples.
3 Or, on manqua de vin. La mère de Jésus lui dit : « Ils n’ont pas de vin. »
4 Jésus lui répond : « Femme, que me veux-tu ? Mon heure n’est pas encore venue. »
5 Sa mère dit à ceux qui servaient : « Tout ce qu’il vous dira, faites-le. »
6 Or, il y avait là six jarres de pierre pour les purifications rituelles des Juifs ; chacune contenait deux à trois mesures, (c’est-à-dire environ cent litres).
7 Jésus dit à ceux qui servaient : « Remplissez d’eau les jarres. » Et ils les remplirent jusqu’au bord.
8 Il leur dit : « Maintenant, puisez, et portez-en au maître du repas. » Ils lui en portèrent.
9 Et celui-ci goûta l’eau changée en vin. Il ne savait pas d’où venait ce vin, mais ceux qui servaient le savaient bien, eux qui avaient puisé l’eau. Alors le maître du repas appelle le marié
10 et lui dit : « Tout le monde sert le bon vin en premier et, lorsque les gens ont bien bu, on apporte le moins bon. Mais toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à maintenant. »
11Tel fut le commencement des signes que Jésus accomplit. C’était à Cana de Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui.
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