vendredi 19 juillet 2024

SEMAINE DU 14 AU 20 JUILLET. ÉVANGILES

  

 


 

 

DIMANCHE 14 JUILLET. Mc 6, 7-13

 

Jésus a quitté Nazareth et il parcourt les villes et villages. 

 

7 En ce temps-là, Jésus appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, 

 

Là, il y a juste autorité sur les esprits impurs. Cela explique peut-être les onctions d'huile, ce que Jésus ne fait jamais.

 

8 et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture. 

9 « Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. » 

 

Est-ce seulement voyage léger? Le bâton, j'ai lu quelque part un rapprochement avec le bâton de moïse, pas seulement le bâton du berger, mais celui qui a permis le passage de la mer rouge.

 

10 Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ. 

11 Si, dans une localité, on refuse de vous accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. » 

 

12 Ils partirent, et proclamèrent qu’il fallait se convertir. 

13 Ils expulsaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, et les guérissaient.

 

Ils partent, et là aussi, c'est très schématiqueAu retour, ce sera venez vous reposer dans un lieu à l'écart et la première multiplication des pains.

 

 

LUNDI 15 JUILLET. Mt 10, 34-42. 11, 1

 

34 En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres : « Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre : je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive. 

 

Je me demande si ce glaive n'est pas à rapprocher de celui de l'épitre aux hébreux, celui qui est aussi le glaive du sacrificateur. Ce qui est sûr c'est que Jésus n'est pas venu apporter une paix du style bisounours. Et que ce qu'il propose c'est de se détacher pour s'attacher à lui et à sa parole. Et à sa manière d'être.

 

35 Oui, je suis venu séparer l’homme de son père, la fille de sa mère, la belle-fille de sa belle-mère : 

36 on aura pour ennemis les gens de sa propre maison. 

 

Il est évident que cela c'est difficile à faire passer et que ceux de sa famille peuvent ne pas comprendre, et souffrir aussi de cela. 

 

37 Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; 

38 celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. 

39 Qui a trouvé sa vie la perdra ; qui a perdu sa vie à cause de moi la gardera. 

 

Je suppose que je redécouvre une fois de plus, les répétitions du pas digne, comme le pas digne du centurion. Au sens de "je ne mérite  pas de". Si je mets mon parent dans mon cœur avant toi, je ne mérite pas d'être ton disciple, je ne le suis pas. 

 

Si je ne reconnais pas mon péché, et mon indignité, et que toi seul peut me sortir de là, ne ne suis pas ton disciple; 

 

Ce n'est que si je jette ma vie en toi, je te la donne, que je trouverai le sens de ma vie, de la vraie vie.

 

 

40 Qui vous accueille m’accueille ; et qui m’accueille accueille Celui qui m’a envoyé.

 

J'aime cette phrase. 

 

 41 Qui accueille un prophète en sa qualité de prophète recevra une récompense de prophète ; qui accueille un homme juste en sa qualité de juste recevra une récompense de juste. 

42 Et celui qui donnera à boire, même un simple verre d’eau fraîche, à l’un de ces petits en sa qualité de disciple, amen, je vous le dis : non, il ne perdra pas sa récompense. »

 

Reconnaître ceux qui sont en Lui et leur donner ce dont ils ont besoin. 

 

1 Lorsque Jésus eut terminé les instructions qu’il donnait à ses douze disciples, il partit de là pour enseigner et proclamer la Parole dans les villes du pays.

 

Et c'est le départ vers d'autres aventures. Mais il me semble que chez Matthieu, certes il a envoyé les apôtres, mais on n'a pas l'impression qu'ils partent, contrairement aux autres évangiles synoptiques.

 

 

MARDI 16 JUILLET Mt 11, 20-24

 

 

Séquence sur Jen Baptiste, qui est emprisonné.

 

02 Jean le Baptiste entendit parler, dans sa prison, des œuvres réalisées par le Christ. Il lui envoya ses disciples et, par eux,

03 lui demanda : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? »

 

04 Jésus leur répondit : « Allez annoncer à Jean ce que vous entendez et voyez :

 

05 Les aveugles retrouvent la vue, et les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, et les sourds entendent, les morts ressuscitent, et les pauvres reçoivent la Bonne Nouvelle.

 

            06 Heureux celui pour qui je ne suis pas une occasion de chute ! »

 

07 Tandis que les envoyés de Jean s’en allaient, Jésus se mit à dire aux foules à propos de Jean : « Qu’êtes-vous allés regarder au désert ? un roseau agité par le vent ?

08 Alors, qu’êtes-vous donc allés voir ? un homme habillé de façon raffinée ? Mais ceux qui portent de tels vêtements vivent dans les palais des rois.

09 Alors, qu’êtes-vous allés voir ? un prophète ? Oui, je vous le dis, et bien plus qu’un prophète.

 

10 C’est de lui qu’il est écrit : Voici que j’envoie mon messager en avant de toi, pour préparer le chemin devant toi.

 

11 Amen, je vous le dis : Parmi ceux qui sont nés d’une femme, personne ne s’est levé de plus grand que Jean le Baptiste ; et cependant le plus petit dans le royaume des Cieux est plus grand que lui.

 

12 Depuis les jours de Jean le Baptiste jusqu’à présent, le royaume des Cieux subit la violence, et des violents cherchent à s’en emparer.

 

13 Tous les Prophètes, ainsi que la Loi, ont prophétisé jusqu’à Jean.

14 Et, si vous voulez bien comprendre, c’est lui, le prophète Élie qui doit venir.

15 Celui qui a des oreilles, qu’il entende !

 

 

 

20 En ce temps-là, Jésus se mit à faire des reproches aux villes où avaient eu lieu la plupart de ses miracles, parce qu’elles ne s’étaient pas converties : 

21 « Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, ces villes, autrefois, se seraient converties sous le sac et la cendre. 

22 Aussi, je vous le déclare : au jour du Jugement, Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous. 

 

Là, il se comporte tout à fait en prophète. Il demande de faire attention, d'ouvrir les yeux, et de changer, parce que ce qui se passe, montre que Dieu est bien présent, présent en lui, présent avec lui.

 

23 Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu’au ciel ? Non, tu descendras jusqu’au séjour des morts ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, cette ville serait encore là aujourd’hui. 

24 Aussi, je vous le déclare : au jour du Jugement, le pays de Sodome sera traité moins sévèrement que toi. »

 

Commentaire RCF: Méditation  Mgr Emmanuel Gobilliard

 

Aujourd’hui dans l’Évangile, Jésus nous invite à reconnaitre sa présence, son action, son passage dans nos vies. Oui il fait des miracles et nous sommes souvent incapables de les voir, parce que nous, en cette période de tour de France je peux le dire avec d’autant plus de vérité, nous avons la tête dans le guidon. Nous voyons les choses uniquement de notre point de vue et souvent notre prière est bien étriquée. Sous prétexte que le Seigneur ne nous a pas donné exactement tout ce que nous lui avons demandé, nous ne voyons pas tout le reste, tout ce qu’il ne cesse de nous donner. Je crois que la première attitude que nous devons avoir, en particulier dans la prière, c’est d’ouvrir les yeux, à la présence de Dieu dans nos vies, et surtout dans la vie des autres. Sortir la tête du guidon, c’est regarder au-delà de soi, au-delà de ses propres idées, de ses propres, points de vue, de ses propres prières, et même, j’ose le dire, de ses propres souffrances. A trop vouloir être heureux, à trop fixer un bonheur idéalisé et que nous recherchons, nous en oublions d’être heureux. A trop fixer nos difficultés et nos souffrances, nous nous laissons submerger par elles. Le Seigneur nous invite à la conversion. C’est-à-dire à un retournement complet de nos perspectives. La conversion, nous considérons trop vite qu’elle a une dimension morale. Non, elle est d’abord une attitude, humaine, psychologique et spirituelle. Elle est, comme au ski, un retournement complet, une résurrection. Elle nous oblige à nous tourner vers Dieu et vers les autres, à nous décentrer. Et quoi qu’il arrive, quelle que soit notre condition, elle sera toujours source d’épanouissement, source de joie même. Alors nous découvrirons à quel point nos prières sont exaucées, bien au-delà de tout ce que nous imaginions, de tout ce que nous espérions. Pas comme nous le voulions, mais comme Dieu le veut, c’est-à-dire pour notre bien, que nous avons bien du mal à appréhender. Notre bien est indissociable du bien de Dieu, du bien des autres. Oui n’ayons pas peur de nous convertir, de sortir de nous-mêmes, de nous tourner vers Dieu et vers les autres. Alors notre vie en sera transformée.

 

 

MERCREDI 17 JUILLET. Mt 11, 25-27

 

Autant chez Luc, ces versets ont un sens, puisqu'ils viennent après le retour des disciples (les 72) autant là, ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. 

 

Bien sûr, il y a les petits, les pauvres qui eux n'ont pas un cœur fermé, et qui sont souples et ouverts, il y a l'aspect trinitaire, mais bon, pour moi, c'est sec.

 

25 En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. 

26 Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. 

 

Un peu abrupte quand même. Parce que j'imagine que Dieu, même si on parle d'élection, ne choisit pas de ne pas révéler ce qui doit l'être qu'aux tout-petits (les pauvres qui sont pauvres parce qu'ils attendent tout de Dieu, qui sont comme dessaissis d'eux-mêmes,) mais que les autres, les savants et les sages, ils sont remplis de leur sagesse et de leur savoir et qu'il n'y a plus de place. 

 

27 Tout m’a été remis par mon Père ; personne ne connaît le Fils, sinon le Père, et personne ne connaît le Père, sinon le Fils, et celui à qui le Fils veut le révéler. »

 

Remettre; remis. Posture du Fils qui est celle du Père, choix? Heureusement que l'Esprit Saint est là. 

 

Laisser résonner: nul ne connait le Père si ce n'est le fils et celui à qui le Fils veut le révéler.

 

 

JEUDI 18 JUILLET Mt 11, 28-30

 

28 En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos

 

Quel repos? 

 

29 Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. 

30 Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »

 

Repos pour votre âme. 

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

 

Méditation  Mgr Emmanuel Gobilliard

 

On vous a peut-être enseigné que la meilleure façon d’aimer c’était de tout donner.

Moi je vous dis que la première façon d’aimer, c’est de dire à l’autre : « j’ai besoin de toi. »

On vous a peut-être appris dans la vie chrétienne qu’être un bon chrétien c’était d’abord être généreux. Moi je vous dis qu’être un bon chrétien c’est d’abord demander à Dieu son aide et lui dire j’ai besoin de toi. Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Que peux-tu donner que tu n’aies reçu ?

Je peux donner, je peux me donner parce que j’ai reçu et j’ai reçu tout de Dieu. La porte d’entrée de la vie chrétienne, qui s’exprime dans les sacrements, dans la prière, dans la charité c’est de dire : « Seigneur j’ai besoin de ton aide, sans toi je ne peux rien ! » C’est lorsque j’ai crié vers Dieu et qu’il m’a répondu que je peux à mon tour me donner.

 

C’est vrai de la vie humaine, de l’amour humain comme de la vie spirituelle et de l’amour divin.

 

Je vous dis cela car, quand je lis l’Évangile, au premier abord je suis surpris ; en effet, le Seigneur nous dit : « venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau je vous procurerai le repos. »

 

Comment le Seigneur nous procure-t-il le repos ? « Prenez sur vous mon joug ! » Avouez que comme repos on peut faire mieux. En fait nos avons l’image du joug comme quelque chose de pesant, de lourd : c’est ce gros socle de bois que les animaux portent sur leur cou. Mais on n’oublie que ce socle de bois doit accueillir deux cous.

 

Imaginez un bœuf sur lequel on mette un joug sans qu’il soit accompagné d’un autre bœuf, Que se passe-t-il ? Quelle que soit la force de ce bœuf, il tombe. Prenez sur vous mon joug, cela veut dire que Jésus le porte déjà et qu’il a besoin de nous pour avancer. Impossible d’avancer avec un joug si on est seul. Jésus porte son joug, il a porté sa croix, il a besoin de nous pour avancer.

 

Pourquoi cela peut-il nous procurer le repos ? Et bien parce que c’est lui qui le porte. Il a juste besoin de notre petite contribution pour ne pas tomber. Jésus a choisi d’avoir besoin de nous. Il a besoin de nous parce que sans nous il ne peut pas aimer. Qui servirait les plus pauvres si nous ne le faisons pas ? Qui serait la main de Dieu comme le dit si bien Mère Térésa si nous ne lui offrons pas nos mains et tout notre corps pour aimer, pour aider, pour soutenir.

 

Le Seigneur a besoin de nous pour qu’à travers nous, il puisse aimer les autres. Le Seigneur a besoin de nous pour se donner. Il a besoin de l’Église aussi ; il a choisi d’avoir besoin de l’Église pour se donner par les sacrements. Finalement ce qui est vrai de la charité, de la prière est aussi vrai du travail : pour que le monde avance, pour que le monde progresse dans la vérité, dans la charité, le Seigneur a besoin de nous mais c’est lui qui agit, c’est lui qui nous donne la force, la force de son Esprit.

 

 

VENDREDI 19 JUILLET. Mt 12, 1-8

 

C'est si facile de prendre l'attitude de critiquer, de ne pas essayer de comprendre, d'où l'importance de la référence de Jésus; c'est la miséricorde que je veux et non les offrandes (légales).

 

1 En ce temps-là, un jour de sabbat, Jésus vint à passer à travers les champs de blé ; ses disciples eurent faim et ils se mirent à arracher des épis et à les manger. 

 

Jésus lui, semble ne pas avoir faim, en tous les cas, lui se maîtrise. Passer à travers champs, est ce pour respecter la règle des 1000 pas le jour du Repos? 

 

2 Voyant cela, les pharisiens lui dirent : « Voilà que tes disciples font ce qu’il n’est pas permis de faire le jour du sabbat ! » 

 

Alors pour se faire entendre, et se faire entendre par eux, référence Bible Il y en même deux pour le prix d'une. Mais la seconde est quand même très intéressante: les prêtres transgressent . Peut-on dire la même chose de nos prêtres le dimanche? Mais c'est vrai que la question du repos (abordée avec l'image du joug au chap précédent) est importante. 

 

3 Mais il leur dit : « N’avez-vous pas lu ce que fit David, quand il eut faim, lui et ceux qui l’accompagnaient ? 

4 Il entra dans la maison de Dieu, et ils mangèrent les pains de l’offrande ; or, ni lui ni les autres n’avaient le droit d’en manger, mais seulement les prêtres. 

 

5 Ou bien encore, n’avez-vous pas lu dans la Loi que le jour du sabbat, les prêtres, dans le Temple, manquent au repos du sabbat sans commettre de faute ? 

 

6 Or, je vous le dis : il y a ici plus grand que le Temple. 

 

7 Si vous aviez compris ce que signifie : Je veux la miséricorde, non le sacrifice, 8vous n’auriez pas condamné ceux qui n’ont pas commis de faute. En effet, le Fils de l’homme est maître du sabbat. »

 

Il aurait pu en rester là avec la phrase sur la miséricorde, mais il fait comme pour la guérison du paralysé, il est celui qui a autorité et il est le maître du Sabbat. Donc il est le Très Haut. Là, ça a dû faire grincer les dents. 

 

 

SAMEDI 20 JUILLET. Mt 12, 14-21

 

 

Manque le récit de l'homme à la main atrophiée.

 

14 En ce temps-là, une fois sortis de la synagogue, les pharisiens se réunirent en conseil contre Jésus pour voir comment le faire périr. 

15 Jésus, l’ayant appris, se retira de là ; beaucoup de gens le suivirent, et il les guérit tous. 16Mais il leur défendit vivement de parler de lui. 

 

Ce qui se passe là évoque ce qui se passe dans l'évangile de Jean. Quand la menace de mort est trop forte, Jésus s'en va, il se protège. Son temps n'est pas encore venu. Et c'est confirmé par sa demande de ne pas parler de lui. Et pourtant il les guérit tous, ce qui renvoie à cette abondance messianique. 

 

            17 Ainsi devait s’accomplir la parole prononcée par le prophète Isaïe : 

 

18 “Voici mon serviteur que j’ai choisi, mon bien-aimé en qui je trouve mon bonheur. Je ferai reposer sur lui mon Esprit, aux nations il fera connaître le jugement. 

19 Il ne cherchera pas querelle, il ne criera pas, on n’entendra pas sa voix sur les places publiques. 

20 Il n’écrasera pas le roseau froissé, il n’éteindra pas la mèche qui faiblit, jusqu’à ce qu’il ait fait triompher le jugement.

 21Les nations mettront en son nom leur espérance.”

 

Peut-être que le plus important, c'est les nations, qui mettront en son nom leur espérance. On quitte Israël et au travers du serviteur, ce bien-aimé, c'est le nom de dieu qui va être donné au monde entier. Un peu comme dans la vision d'Ezéchiel, Dieu qui quitte le temple. 

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