DIMANCHE 1° SEPTEMBRE. Mc 7, 1-8
Question du pur et de l'impur. Jésus de débrouille bien mais il y a d'autres impuretés, celle du sang des femmes, et ce qui se passe, quand on est victime d'une agression. En fait c'est bien décrit dans le livre de Samuel quand il y a le viol. On se sent impur, on a ce besoin de se laver encore et encore, et là, je pense que la réponse, c'est le sang de jésus sur la croix, le sang versé, qui redonne la pureté. Mais c'est tellement compliqué.
1 En ce temps-là, les pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem, se réunissent auprès de Jésus,
2 et voient quelques-uns de ses disciples prendre leur repas avec des mains impures, c’est-à-dire non lavées.
Il y a eu au chapitre précédent l'envoi des disciples en mission, leur retour et la multiplication des pains. Jésus, commence vraiment à être dangereux. Je pense que si ce sont des pharisiens, qui viennent de Jérusalem (et dès le chapitre 3, il est question de tuer Jésus), c'est qu'ils ne sont pas remplis de bonnes intentions. Il s'agit de prendre Jésus en défaut, mais pour des lecteurs non juifs, cela peut paraître stupide, alors le rédacteur explique. Mais l'important c'est qu'il s'agit de l'attachement à la tradition et non à la parole vivante de l'écriture. Et cela Jésus ne le laissera pas passer et ne se laissera pas piéger.
3– Les pharisiens en effet, comme tous les Juifs, se lavent toujours soigneusement les mains avant de manger, par attachement à la tradition des anciens ;
4 et au retour du marché, ils ne mangent pas avant de s’être aspergés d’eau, et ils sont attachés encore par tradition à beaucoup d’autres pratiques : lavage de coupes, de carafes et de plats.
5 Alors les pharisiens et les scribes demandèrent à Jésus : « Pourquoi tes disciples ne suivent-ils pas la tradition des anciens ? Ils prennent leurs repas avec des mains impures. »
Là, ils s'adressent directement à Jésus, qui lui s'est certainement lavé les mains. Tu es un mauvais maître, tu leur laisses faire n'importe quoi, ils ne se sont pas purifiés donc toute la nourriture qu'ils ingèrent est impure. C'est d'ailleurs amusant si on pense que Marc est le disciple de Pierre, de penser à la vision sur le pur et l'impur dans les actes des apôtres.
6 Jésus leur répondit : « Isaïe a bien prophétisé à votre sujet, hypocrites, ainsi qu’il est écrit : ‘Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi.
7 C’est en vain qu’ils me rendent un culte ; les doctrines qu’ils enseignent ne sont que des préceptes humains.’
8 Vous aussi, vous laissez de côté le commandement de Dieu, pour vous attacher à la tradition des hommes. »
Et c'est la réponse de Jésus qui s'appuie sur l'écriture et qui balaye un peu ce qu'il en est de la tradition des hommes. Au lieu de s'attacher à la parole, ils s'attachent des traditions , traditions que Jésus démolie dans les versets qui sont omis et qui montrent comment un commandement de Dieu, est complètement mis à mal par la tradition.
08 Vous aussi, vous laissez de côté le commandement de Dieu, pour vous attacher à la tradition des hommes. »
09 Il leur disait encore : « Vous rejetez bel et bien le commandement de Dieu pour établir votre tradition.
10 En effet, Moïse a dit : Honore ton père et ta mère. Et encore : Celui qui maudit son père ou sa mère sera mis à mort.
11 Mais vous, vous dites : Supposons qu’un homme déclare à son père ou à sa mère : “Les ressources qui m’auraient permis de t’aider sont korbane, c’est-à-dire don réservé à Dieu”,
12 alors vous ne l’autorisez plus à faire quoi que ce soit pour son père ou sa mère ;
13 vous annulez ainsi la parole de Dieu par la tradition que vous transmettez. Et vous faites beaucoup de choses du même genre. »
Il me semble que la prise de bec Jésus/ Pharisiens se termine donc par du 1 à 0.
14 Appelant de nouveau la foule, il lui disait : « Écoutez-moi tous, et comprenez bien.
Mais Jésus ne s'en tient pas là. Il se sert de ce qui vient de se passer pour enseigner. Et ce qu'il dit est important: écoutez et comprenez. Et cela se résume à peu de choses, ce qui rend impur ce n'est pas ce qui vient du dehors (sauf que cela est peut-être vrai pour des choses, mais pas pour des paroles entendues ou des actes commis avec l'intention de détruire).mais c'est ce qui vient du cœur, donc les pharisiens qui ont des pensées de mort à mon égard sont impurs alors qu'ils passent leur temps à respecter des préceptes de pureté.
15 Rien de ce qui est extérieur à l’homme et qui entre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l’homme, voilà ce qui rend l’homme impur. »
21 Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduites, vols, meurtres,
22 adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure.
23 Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur. »
LUNDI 2 SEPTEMBRE. Lc 4, 16-30
Juste avant les tentations. Lc 4, 14 Lorsque Jésus, dans la puissance de l’Esprit, revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région.
15 Il enseignait dans les synagogues, et tout le monde faisait son éloge.
C'est un peu ce qui se passe au début à Nazareth, mais ça se gâte. Et ce qui se passe, évoque la troisième tentation. Il s'agit bien de précipiter Jésus dans le vide. 09 Puis le diable le conduisit à Jérusalem, il le plaça au sommet du Temple et lui dit : « Si tu es Fils de Dieu, d’ici jette-toi en bas ;10 car il est écrit : Il donnera pour toi, à ses anges, l’ordre de te garder ;
11 et encore : Ils te porteront sur leurs mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre. »
12 Jésus lui fit cette réponse : « Il est dit : Tu ne mettras pas à l’épreuve le Seigneur ton Dieu. »
16 En ce temps-là, Jésus vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture.
Il est question d'habitude, d'une sorte de rituel. Là il se lève, et c'est lui qui choisit, mais je pense que le prophète, ce n'est pas lui qui a choisi le rouleau.
17 On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :
18‘L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés,
19annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.’
On peut imaginer que cela a pris un certain temps pour trouver le passage. .
20 Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.
21 Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre. »
22 Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Ils se disaient : « N’est-ce pas là le fils de Joseph ? »
Là, il prend la position de l'enseignant; assis. Les autres attendent ce qu'il va raconter. Et c'est étonnant la brièveté. En fait Luc ne raconte pas grand-chose, sauf que quelque chose se passe, avec ce questionnement: d'où ça lui vient. Il n'était pas comme ça, On le connait pourtant bien nous, il est le fils de Joseph, et Joseph, bon, c'était juste le charpentier. Pour qui il se prend. Donc on rabaisse.
23 Mais il leur dit : « Sûrement vous allez me citer le dicton : “Médecin, guéris-toi toi-même”, et me dire : “Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm ; fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !” »
Là, il se situe comme faiseur de miracles et comme s'il ne répondait pas à l'attente. Y a-t-il des malades dans la synagogue? Si oui, ça peut se comprendre. Déception. Mais la phrase, médecin guéris toi, toi -même est plus que bizarre; de quoi serait-il malade? Avant de guérir les autres, utilise ton art pour te guérir toi-même… Et ce qui est étonnant, c'est que le nom capharnaüm, déboule comme ça d'un coup.
24 Puis il ajouta : « Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays.
25 En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ;
26 pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère.
27 Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien. »
Je trouve que c'est une manière bien curieuse de raconter les choses. Elie ne devait pas avoir une super réputation en Israël. Quant à Élisée, il n'a pas eu vraiment le choix, vu la manière dont le roi a réagi quand Naaman est arrivé. Mais les miracles, ont souvent lieu pour des étrangers qui sont parfois plus accueillants.
Là, c'est comme si Jésus se met en colère. Les miracles oui, mais d'abord la parole. Et lui, se situe comme prophète. Celui qui annonce la parole.
28 À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux.
29 Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas.
30 Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin.
Il n'a pas le comportement prévu par le malin. Il ne se jette pas en bas, il ne fait rien de glorieux, mais il passe son chemin; il ne se laisse pas faire. Il va vers sa mission. Mais le comportement de N évoque ce qui se passera à J. Et c'est le début de l'évangile. Combat contre le malin.
MARDI 3 SEPTEMBRE. Lc4, 31-37
Une autre synagogue. Il enseigne. Et un autre combat; mais la présence du malin est là, elle aussi.
31 En ce temps-là, Jésus descendit à Capharnaüm, ville de Galilée, et il y enseignait, le jour du sabbat.
32 On était frappé par son enseignement car sa parole était pleine d’autorité.
Important les qualificatifs de Luc sur la parole de Jésus. Il y a les éloges, la renommée et là l'enseignement plein d'autorité.
33 Or, il y avait dans la synagogue un homme possédé par l’esprit d’un démon impur, qui se mit à crier d’une voix forte :
34 « Ah ! que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. »
Quelqu'un a déjà parlé d'une voix forte, c'est Elisabeth. Et on pourrait croire que cet homme est inspiré par l'esprit, mais il n'en n'est rien. C'est une plainte, c'est qu'est ce que tu fous là, qu'est ce que tu nous veux, tu ne peux pas nous foutre la paix. Et d'abord, moi, je sais qui tu es. Le Saint de Dieu, c'est ce que Pierre dira dans l'évangile de Jean? Le Saint de Dieu. Mais ce n'est pas le moment.;
35 Jésus le menaça : « Silence ! Sors de cet homme. » Alors le démon projeta l’homme en plein milieu et sortit de lui sans lui faire aucun mal.
Jésus ne discute pas, il impose deux choses: qu'il se taise et qu'il foute le camp.
Et le démon obéit. Simplement il déplace l'homme, le met en plein milieu, et s'en va, sans dire un mot.
36 Tous furent saisis d’effroi et ils se disaient entre eux : « Quelle est cette parole ? Il commande avec autorité et puissance aux esprits impurs, et ils sortent ! »
37 Et la réputation de Jésus se propageait dans toute la région.
La réaction là, est une réaction de crainte, un commentaire sur la force de la parole. Il est plus fort que les esprits impurs et ça se fait d'une manière certainement différente des exorcismes de l'époque. Il est différent. Il a la puissance. Qui est-il?
MERCREDI 4 SEPTEMBRE. Lc 4, 38-42
Voilà enfin Simon-Pierre qui apparait.
Dans l'ordre on a eu Nazareth (échec), Capharnaüm, (interrogation et crainte), la maison de Simon, où il ne reste pas.
Temps 1.
38 En ce temps-là, Jésus quitta la synagogue et entra dans la maison de Simon. Or, la belle-mère de Simon était oppressée par une forte fièvre, et on demanda à Jésus de faire quelque chose pour elle.
39 Il se pencha sur elle, menaça la fièvre, et la fièvre la quitta. À l’instant même, la femme se leva et elle les servait.
S'il menace, c'est que cela ressemble à une possession. Femme couchée, intercession des frères, menace et femme debout. Il se pencha sur elle, j'aime cette attitude. Il est présent, il regarde, il agit.
Temps 2: les guérisons puisque le sabbat est terminé. Imposition des mains pour les malades, exorcismes et menace aux démons; se taire, ne pas révéler qui il est.
40 Au coucher du soleil, tous ceux qui avaient des malades atteints de diverses infirmités les lui amenèrent. Et Jésus, imposant les mains à chacun d’eux, les guérissait.
41 Et même des démons sortaient de beaucoup d’entre eux en criant : « C’est toi le Fils de Dieu ! » Mais Jésus les menaçait et leur interdisait de parler, parce qu’ils savaient, eux, que le Christ, c’était lui.
Temps 3:11 aller là où l'esprit le conduit. Mais on ne met pas la main sur Jésus. Présent, absent;
42 Quand il fit jour, Jésus sortit et s’en alla dans un endroit désert. Les foules le cherchaient ; elles arrivèrent jusqu’à lui, et elles le retenaient pour l’empêcher de les quitter.
43 Mais il leur dit : « Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle du règne de Dieu, car c’est pour cela que j’ai été envoyé. »
44 Et il proclamait l’Évangile dans les synagogues du pays des Juifs.
Centration sur l'annonce de la parole, plus que les miracles.
JEUDI 5 SEPTEMBRE. Lc 5, 1-11.
L'appel de Simon me fait penser à celui d'isaïe. C'est quand même très étonnant. Comme si malgré ce qu'il avait vu, Simon avait besoin de ce signe là pour lui, pour tout quitter et suivre. Ce qui me frappe aussi, c'est que chez Luc, pas de tempête sur le lac.
1 En ce temps-là, la foule se pressait autour de Jésus pour écouter la parole de Dieu, tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth.
2 Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets.
3 Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon, et lui demanda de s’écarter un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
4 Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : « Avance au large, et jetez vos filets pour la pêche. »
5 Simon lui répondit : « Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. »
6 Et l’ayant fait, ils capturèrent une telle quantité de poissons que leurs filets allaient se déchirer.
7 Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient.
8 À cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : « Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur. »
9 En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ;
10 et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, les associés de Simon. Jésus dit à Simon : « Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras.»
11 Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.
Dans les autres, le groupe des quatre n'a pas besoin d'un miracle de cette taille pour suivre Jésus. C'est quand même très étonnant. Il y a eu ce qui s'est passé dans la maison de Simon, la belle-mère, puis les guérisons, puis Jésus qui part, mais il part seul. Là c'est le retour, et lui, sait qu'il ne doit pas être seul. Alors il pêche ces hommes; c'est sa pêche à lui.
VENDREDI 5 SEPTEMBRE. Lc 5, 33-39
Et bien quel saut. Pas la guérison du lépreux, pas la guérison du paralytique et les péchés remis, pas l'appel de Matthieu, mais c'est évident que les scribes et pharisiens, commencent sérieusement à se poser des questions et là, ils s'en prennent plein la tronche. Et ce que Jésus dit sur le vêtement interpelle pas mal. Pas abimer un vêtement neuf pour réapprécier un vêtement ancien. Pour l'outre, c'est plus simple, mais c'est surtout, vous préférez le vin vieux, (comme tout le monde), et vous n'essayez même pas le vin nouveau. Peut-être que vous avez peur que ça vous fasse exploser (et vous explosez déjà de rage). Et ne comptez pas sur moi, pour rapiécer, ce serait stupide. Encore faut-il se rendre compte qu'on est usé;
33 Ils lui dirent alors : « Les disciples de Jean le Baptiste jeûnent souvent et font des prières ; de même ceux des pharisiens. Au contraire, les tiens mangent et boivent ! »
34 Jésus leur dit : « Pouvez-vous faire jeûner les invités de la noce, pendant que l’Époux est avec eux ?
35 Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ; alors, en ces jours-là, ils jeûneront. »
Une attaque, à laquelle il répond en faisant comprendre qu'il est l'époux, le messie, donc pas besoin de jeûne. Mais un jour, on pourra refaire cela, pour gâter son retour. Le faisons-nous?
36 Il leur dit aussi en parabole : « Personne ne déchire un morceau à un vêtement neuf pour le coudre sur un vieux vêtement. Autrement, on aura déchiré le neuf, et le morceau qui vient du neuf ne s’accordera pas avec le vieux.
C'est une histoire, une parabole. Ils en ont les prémices. Mais le final c'est in déchire ne veuf pour rien et de toutes les manières, ça ne peut pas s'accorder. Mais là, il serait juste question de renforcer. (accordée en mariage à un homme ). La pas de mariage possible;
37 Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fera éclater les outres, il se répandra et les outres seront perdues.
38 Mais on doit mettre le vin nouveau dans des outres neuves.
39 Jamais celui qui a bu du vin vieux ne désire du nouveau. Car il dit : “C’est le vieux qui est bon.”
Les outres. Pas de mélange possible. Mais vous n'eêtes pas capables de goûter le vin neuf; habitude qui vous perdra.
SAMEDI 6 SEPTEMBRE. Lc 6, 1-5/ les épis froissés.
01 Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs ; ses disciples arrachaient des épis et les mangeaient, après les avoir froissés dans leurs mains.
un véritable surmoi ces pharisiens. on dirait qu'ils sont comme une ombre, ils suivent, ils regardent, ils cherchent la petite bête, la trouvent, et attaquent.
02 Quelques pharisiens dirent alors : « Pourquoi faites-vous ce qui n’est pas permis le jour du sabbat ? »
A qui s'adressent-ils? Normalement aux disciples, sous entendu, votre rabbi il est nul, il ne respecte pas la loi, vous ne devriez pas le suivre. le pourquoi du geste ne les concerne pas, et c'est permanent dans les évangiles. ne pas chercher à comprendre. Juger.
03 Jésus leur répondit : « N’avez-vous pas lu ce que fit David un jour qu’il eut faim, lui-même et ceux qui l’accompagnaient ?
04 Il entra dans la maison de Dieu, prit les pains de l’offrande, en mangea et en donna à ceux qui l’accompagnaient, alors que les prêtres seulement ont le droit d’en manger. »
Il faudrait lire la version de la septante, parce que ce n'est pas ce qui se passe dans la bible hébraïque.
05 Il leur disait encore : « Le Fils de l’homme est maître du sabbat. »
c'est un peu comme s'il leur disait, allez vous faire voir.
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