DIMANCHE 17 JUILLET. Lc 10, 18-42
38 En ce temps-là, Jésus entra dans un village. Une femme nommée Marthe le reçut.
39 Elle avait une sœur appelée Marie qui, s’étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole.
Je trouve que cela va bien avec le début du chapitre. Je me dis qu'il a dû, dire "paix à cette maison" et que la paix est allée reposer sur Marthe d'abord, puis sur Marie, mais cela a produit des effets différents; marie choisit de s'asseoir (c'est actif) et d'écouter (passif).
40 Quant à Marthe, elle était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint
et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien que ma sœur m’ait laissé faire seule le service ? Dis-lui donc de m’aider. »
Ce matin, c'est le Seigneur qui m'a interpellée. Qu'est ce que je mets derrière? Là elle ne l'appelle pas par son nom, il y a bien une distance (Mon sieur, Mon seigneur). Et avant quand Luc parle de Jésus il dit le Seigneur, qui renvoie bien à la divinité, du moins pour nous.
Donc Marthe intervient, comme si d'un coup, elle ne peut plus supporter quelque chose. Ce quelque chose étant qu'elle en a trop à faire, mais je me demande toujours si c'est cela, car des servantes, elle soit en avoir. C'est autre chose. Mais quoi? Elle est à tes pieds, et ça ne se fait pas. Ce n'est pas sa place (et pourtant c'est sa place si on en croit l'évangile de <Jean), alors qu'est ce qui se passe chez Marthe? Dis à mon frère de partager avec moi? Demandera un homme plus tard. Et Jésus dira qui m'a établi pour être juge. Là pourtant il va trancher, il va être le Salomon.
41 Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu te donnes du souci et tu t’agites pour bien des choses.
42 Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, elle ne lui sera pas enlevée. »
Ce qui me parait évident c'est que là, Jésus se montre le prochain de Marie, il vole à son secours, mais aussi celui de Marthe. Oui elle se donne du souci, oui, elle s'agite, mais est-cela le plus important, le paraître? Et il lui fait remarquer que Marie, en choisissant de s'asseoir a fait un choix, et que parfois il faut en faire des choix comme cela. Et que c'était le choix d'aujourd'hui. En ce jour-là, elle peut rester là. A Marthe de se calmer et peut-être de s'asseoir, d'attendre.
LUNDI 18 JUILLET. Mt 12, 38-42
36 Je vous le dis : toute parole creuse que prononceront les hommes, ils devront en rendre compte au jour du Jugement.
37 D’après tes paroles, en effet, tu seras reconnu juste ; d’après tes paroles tu seras condamné. »
Ce sont les versets qui précèdent. Et que je découvre. Mais c'est au cours d'une diatribe de Jésus contre les pharisiens qui disent qu'il est de fait possédé, qu'il a fait un pacte avec Béelzéboul. Et c'est violent ce que dit Jésus. Il leur dit engeance de vipère, comment pouvez-vous dire des paroles bonnes vous qui êtes mauvais.
Du coup, ce qui vient là, c'est la querelle qui continue. Prouve nous que tu n'es pas un possédé; nous voulons voir un signe venant de toi. Ailleurs ce sera un signe du cieil. Montre nous que tu es comme Moïse.
38 En ce temps-là, quelques-uns des scribes et des pharisiens adressèrent la parole à Jésus : « Maître, nous voudrions voir un signe venant de toi. »
39 Il leur répondit : « Cette génération mauvaise et adultère réclame un signe, mais, en fait de signe, il ne lui sera donné que le signe du prophète Jonas.
Et la réponse est cohérente avec ce qui s'est passé avant. Vous ne croyez pas en moi,. Alors le signe, ce sera que vous me mettrez à mort, et ensuite il se passera quelque chose que vous ne pouvez pas imaginer.
40 En effet, comme Jonas est resté dans le ventre du monstre marin trois jours et trois nuits, le Fils de l’homme restera de même au cœur de la terre trois jours et trois nuits.
Mais eux se sont convertis, vous, vous ne le ferez pas.
41 Lors du Jugement, les habitants de Ninive se lèveront en même temps que cette génération, et ils la condamneront ; en effet, ils se sont convertis en réponse à la proclamation faite par Jonas, et il y a ici bien plus que Jonas.
42 Lors du Jugement, la reine de Saba se dressera en même temps que cette génération, et elle la condamnera ; en effet, elle est venue des extrémités de la terre pour écouter la sagesse de Salomon, et il y a ici bien plus que Salomon. »
Ce sont des étrangers… Et vous vous n'êtes pas capables d'entendre.
MARDI 19 juillet. Mt 12, 46-50
Jésus dit une sorte de parabole pour les scribes et les pharisiens, celle de l'homme dont l'état se retrouve pire qu'avant l'expulsion de l'esprit impur et il dit; voilà ce qui arrivera à cette génération.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Jésus cherche la bagarre et c'est là qu'arrivent sa mère et ses frères, dehors.
46 En ce temps-là, comme Jésus parlait encore aux foules, voici que sa mère et ses frères se tenaient au-dehors, cherchant à lui parler.
47Quelqu’un lui dit : « Ta mère et tes frères sont là, dehors, qui cherchent à te parler. »
Ils sont de la famille biologique, les liens du sang et ils sont dehors. Jésus ne peut pas les voir et c'est quelqu'un qui lui fait remarquer qu'ils n'ont pas forcé le passage, mais à mon avis, ils se sont fait entendre, ils ont fait du bruit. "Nous on est sa famille, laissez- nous passez, on veut lui parler". Si on pense à l'évangile de Marc, ils veulent peut-être le ramener à la maison. S'ils ont pris avec eux, Marie, sa mère, ce n'est pas pour rien.
48 Jésus lui répondit : « Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? »
Jésus ne dit pas, laissez- les entrer, mais il pose une question à ce quelqu'un. Qui est sa famille? Ceux que lui considère comme sa famille, et qui eux, ne sont pas dehors.
49 Puis, étendant la main vers ses disciples, il dit : « Voici ma mère et mes frères.
Et c'est un beau geste. Il étend la main, à la fois il désigne mais peut-être que c'est aussi un geste de bénédiction. Si sa famille est entrée, elle doit peut-être ne pas apprécier, sauf que…
50 Car celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »
Sauf que pour Marie, elle fait la volonté du père de Jésus et cela la confirme. Les frères, c'est moins évident. Et elle, elle entre auprès de son fils.
Pour être dedans, il faut essayer de faire la volonté de celui qui est son père. Faire partie de la fratrie. Comme je l'ai déjà écrit, être une mère pour Jésus, c'est un rôle assez impressionnant car cela veut dire qu'il est comme un fils pour moi, et ce n'est pas une manière habituelle de voir les choses.
MERCREDI 20 JUILLET. Mt 13, 1-9. Début parabole du semeur.
1 Ce jour-là, Jésus était sorti de la maison, et il était assis au bord de la mer.
2 Auprès de lui se rassemblèrent des foules si grandes qu’il monta dans une barque où il s’assit ; toute la foule se tenait sur le rivage.l/
Des foules si grandes.
Un homme si petit et si seul.
Un homme dans une barque séparé.
Une foule sur le rivage séparée.
3 Il leur dit beaucoup de choses en paraboles : « Voici que le semeur sortit pour semer.
Un homme qui parle.
Un homme qui raconte, avec une manière à lui de raconter.
4 Comme il semait, des grains sont tombés au bord du chemin, et les oiseaux sont venus tout manger.
Un semeur qui sème des grains, mais des grains de quoi? Mas les oiseaux ont tout mangé;
Là, c'est la faute des oiseaux.
5 D’autres sont tombés sur le sol pierreux, où ils n’avaient pas beaucoup de terre ; ils ont levé aussitôt, parce que la terre était peu profonde.
6 Le soleil s’étant levé, ils ont brûlé et, faute de racines, ils ont séché.
Un semeur qui sème la volée et les grains (graines) tombent parmi les pierres. Au bout d'un certain ils donnent une tige, mais le fruit sèche sur place, faute de racines et de terre profonde, qui garderait l'eau. Là c'est la faute du soleil.
7 D’autres sont tombés dans les ronces ; les ronces ont poussé et les ont étouffés
La aussi c'est de la faute des autres. Il y a eu comme un combat, entre le bon grain et les ronces, mais les ronces ont étouffé.
.8 D’autres sont tombés dans la bonne terre, et ils ont donné du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un.
Et là, enfin tout se passe bien, mais les rendements sont différents. La faute à qui?
9 Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! »
Ecoute Israël. Ouvre les oreilles du cœur.
La bonne terre, il faut la préparer. Il faut l'ameublir donc la graine doit rentrer, il faut enlever les grosses pierres sous la terre, il faut enlever les ronces, alors la terre peut porter son fruit, mais suivant la qualité de la terre, ce sera des rendements différents.
Autre est le semeur, autre est le laboureur. Autre est le moissonneur.
JEUDI 21 JUILLET. Mt 13, 10-17
Voir Is 6,9
10 En ce temps-là, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent : « Pourquoi leur parles-tu en paraboles ? »
11 Il leur répondit : « À vous il est donné de connaître les mystères du royaume des Cieux, mais ce n’est pas donné à ceux-là.
Il y a une question, comme s'ils étaient surpris du changement de la manière de parler. Quelqu'un disait que comme Jésus a des ennuis de plus en plus importants avec les pharisiens, il choisit un autre type de discours. Il se met à l'abri. Mais il y a ce risque de ne pas être compris, sauf que manifestement c'est ce qu'il veut. Par qui ne veut-il pas compris?
12 À celui qui a, on donnera, et il sera dans l’abondance ; à celui qui n’a pas, on enlèvera même ce qu’il a.
Phrase difficile. Que veut il nous dire. Comparaison entre les disciples et les pharisiens. Je ne sais pas..
13 Si je leur parle en paraboles, c’est parce qu’ils regardent sans regarder, et qu’ils écoutent sans écouter ni comprendre.
Et cette phrase, semble bien aller pour les pharisiens.
14 Ainsi s’accomplit pour eux la prophétie d’Isaïe : ‘Vous aurez beau écouter, vous ne comprendrez pas. Vous aurez beau regarder, vous ne verrez pas.
15 Le cœur de ce peuple s’est alourdi : ils sont devenus durs d’oreille, ils se sont bouché les yeux, de peur que leurs yeux ne voient, que leurs oreilles n’entendent, que leur cœur ne comprenne, qu’ils ne se convertissent, – et moi, je les guérirai.’
Est-ce que la finale, n'est pas une sorte de boutade. Ils sont devenus comme les idolles, alors ils s'imaginent que je vais les guérir???
16 Mais vous, heureux vos yeux puisqu’ils voient, et vos oreilles puisqu’elles entendent !
17 Amen, je vous le dis : beaucoup de prophètes et de justes ont désiré voir ce que vous voyez, et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu. »
Les disciples, ici sont très valorisés. Ils voient ce que tous pourraient voir, s'ils ouvraient les yeux.
VENDREDI 22 JUILLET. Jn 20, 1-11-. Marie Madeleine. Elle se pencha vers le tombeau
https://giboulee.blogspot.com/2022/04/jn-20-12-18-la-rencontre-entre-marie.html
1 Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau.
11Elle se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau.
12 Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus.
13 Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé. »
14 Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était Jésus.
15 Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle lui répond : « Si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as déposé, et moi, j’irai le prendre. »
16 Jésus lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! », c’est-à-dire : Maître.
17 Jésus reprend : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va trouver
Marie-Madeleine 2 fois. Jésus 5 fois.
Ce qui me frappe ce matin, c'est le silence. Elle part alors que la nuit est encore là. Les ténèbres sont dehors mais aussi dans son cœur. Elle arrive peut-être pour rectifier ce que les hommes ont fait pour le corps. Cette grosse quantité d'aromates. Elle voit la pierre roulée. Peut-être qu'un cri est sur ses lèvres, mais il ne sort pas; ensuite elle file chez Jean et Simon)-Pierre, une phrase et ils partent. Eux en courant, elle seule. Les deux vont entrer, mais pas un mot. Eux voient les linges. Et ils s'en vont, toujours en silence. Ils ont juste repris leur respiration. Et la voilà elle, toujours seuls, toujours avec ce corps qui a disparu. Elle se penche vers.
Elle voit non pas les linges bien pliés, mais deux anges, ce qui ne la fait pas réagir. Et pourtant ils sont assis, et pas n'importe où. Pas sur la pierre, sur l'autre pierre, celle du corps.
. Une parole, pourquoi pleures-tu? Mais elle pleure toujours. Une réponse, on a enlevé le corps de mon seigneur (de celui que j'aime) et je ne sais pas où il est.
Et ça s'anime un peu.
Le jardinier pose la même question, mais il y a le qui cherches-tu. Il a donc entendu ce qui s'est passé. Sacrée oreille de Jésus;
Là, je peux penser qu'elle réponde tout de suite, mais le regarde t elle? Elle est dans le silence du tombeau. Si c'est toi qui l'a pris, dis-moi où il est et j'irai le chercher
Mais est ce qu'elle attend une réponse? Elle se remet dans ses pleurs et dans son silence. Et là c'est son nom qu'elle entend, qui rompt son mur, qui fait rouler sa pierre. Car en fait elle est morte avec Jésus, et il vient la ressusciter.
Et c'est ce qui se passe; elle est enfin capable de gestes, si Jésus lui dit de ne pas le retenir. Et elle se met en route pour dire, pour raconter que la vie est là.
Silence, mort, vie. Se pencher comme aspirée par la mort, en être libérée, el aller. Car il y le "va".
1 Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau.
11 Elle se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau.
12 Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus.
13 Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé. »
14 Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était Jésus.
15Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle lui répond : « Si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as déposé, et moi, j’irai le prendre. »
16 Jésus lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! », c’est-à-dire : Maître.
17 Jésus reprend : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »
18 Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples : « J’ai vu le Seigneur ! », et elle raconta ce qu’il lui avait dit.
SAMEDI 23 JUILLET. STE BRIGITTE. Jn 15, 1-8
A creuser ce qui se passe avec la parole. Si Jésus est comme dans le prologue, la parole, le verbe, alors parole = Fils et c'est le gardez lui e nous, être un seul avec.
La danse des demeurez/ demeurés.
Si vous ne me tenez pas, vous en tiendrez pas.
C'est la même idée.
1 En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.
Important le rôle du vigneron. C'est lui qui traite la vigne, qui crée les cépages. Et ce qui est très net là, c'est la complémentarité entre le Père, le Fils, et nous.
2 Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage.
3 Mais vous, déjà vous voici purifiés grâce à la parole que je vous ai dite.
Il y aurait alors deux types de tailles. Celle qui vient du Père et qui comme toute taille purifie mais cela ne se fait pas sans douleur et l'autre qui est la parole. Mais cela c'est peut-être un registre complétement autre;
4 Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.
5 Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.
6 Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.
Demeurer.
7 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.
On revient sur les paroles qui demeurent, et cela c'est l'action de l'E.S. et c'est ce qui permet que nos demandes se réalisent pour nous nous.
8 Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez pour moi des disciples. »
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